Recherchez “l’euphonie”: un assemblage harmonieux de sons.

Un jeu sur les sonorités peut faire la différence : NUTRICIA, PAIRI DAIZA, …

Un nom qui présente des sonorités sympathiques est plus facile à retenir. Les terminaisons sont évocatrices. Par exemple une terminaison en « a » présente une connotation plus féminine et plus rassurante, une terminaison en « o » est plus masculine ou plus enfantine.

Faites un test simple ; prononcez votre nom à voix haute ou faite comme si vous décrochiez au téléphone : bonjour …(votre nom de marque) en ligne. Si ça fonctionne, alors c’est déjà une un bon début.

Limitez votre nom à 2 ou 3 syllabes : INNO, NIKE, QUICK, …

Imaginez le nombre de fois par jour où nos yeux ou nos oreilles sont soumis à la lecture ou l’audition de marques. Il faut faire la différence. Votre nom commercial sera peut-être vu sur un panneau publicitaire le long d’une route, il doit donc se lire en quelques millième de seconde. S’il est trop long votre client potentiel risque fortement de ne pas le retenir.

Vangodtsenhovenstaede! Vous allez retenir? Vos clients non plus!

Trouvez un nom facilement prononçable, il sera plus facile à mémoriser. L’enjeu est bien que l’on retienne votre marque pour acheter vos produits.

Vous me direz, LinkedIn est au nom complexe et difficilement prononçable. Il n’y a pas 2 personnes qui le prononcent de la même façon et pourtant il est connu par des millions de personnes! Vous avez raison. Simplement, vous n’aurez sans doute pas la même puissance communicationnel pour faire connaitre votre nom et le visibiliser sur de nombreux supports. Vos moyens financiers et humains ne seront sans doute pas tout de suite ceux de ce grand réseau social.

Vous êtes plutôt classique ou décalé ? Cherchez de préférence un nom“ évocateur”, c’est-à-dire un nom qui est en lien avec votre produit ou service. Quelques marques réussissent bien dans ce sens : DREAMLAND, LE ROI DU MATELA, HELLO FRESH, …

Si vous souhaitez être disruptif, ça fonctionne aussi, pensons à APPEL.

Nos expériences nous démontrent qu’un nom qui a du sens est plus facile à retenir.

Ou un nom qui renforce la promesse de votre produit, par exemple : Mr PROPRE, …

Évitez les noms communs : ECUREUIL, LA MAISON, MEZZANINE, …

Beaucoup utilisent leur nom de famille comme nom de marque : MAISON LERUTH, CHEZ CAMILLE, … Qu’est-ce que cela nous dit sur le produit? Cela peut parfois fonctionner pour des produits de tradition ou de bouche. Ils doivent alors être accompagnés d’une baseline.

Plusieurs études ont prouvé qu’il est beaucoup plus simple de retenir un nom, même inventé, que des initiales. On a souvent tendance à les mélanger ou bien même les oublier : CLT, TSVB, BNI… Vous prenez le risque que vos clients mélangent les lettres lorsqu’ils font une recherche sur le net. Cela deviendra peut-être LTC ou INB ou BTSV? Vous êtes sûr qu’ils ne retrouveront jamais votre produit et qu’ils ne pourront jamais le recommander. Il existe évidemment des exceptions telles que CBC, ING, IKEA ou H&M. Mais là encore, la puissance de communication derrière la marque fait la différence!

Pensez à long terme. Votre produit ou service sera peut-être un jour positionner sur des marchés internationaux. Votre nom doit fonctionner pour d’autres cultures et être facilement prononçable dans d’autres langues. Par exemple Mr KNIGHT a préféré lancer sa marque sous le nom de NIKE qui est bien plus simple à prononcer et à lire. Évitez aussi des noms qui ont une tout autre signification dans une autre langue.

Vous l’avez trouvé ? Votre nom de marque claque, il est original, court, il se prononce facilement…  Et avez-vous vérifié sa disponibilité sur le web. Faites une recherche sur www.dns.be ou www.eurodns.com. Si votre nom est déjà pris, il faut impérativement en chercher un autre car les recherches sur le net sont primordial pour votre activité, et votre client risque de ne pas vous trouver.